Réveillez-vous!! À lire aujourd'hui
Bienvenue à on parle de tout - Informations
Envoyez nous vos textes

jh.pierre_2007

 


Vrai ou faux...Jésus?
Reporté par Marry-Lourde le 12/02/2008, 20 08 04 (UTC)
 Un musulman en Egypte a tué sa femme et l'a enterrée
avec leur fille de 8 ans et leur dernière née. Les
fillettes ont été enterrées vivantes !
Il est ensuite allé dire à la police qu'un oncle a
tué ses enfants. Quinze jours après, un autre membre
de la famille est décédé. A l’enterrement, on a
retrouvé les 2 fillettes sous du sable : VIVANTES !
Le pays est offusqué par cet incident et l'homme
sera exécuté.
On a demandé à la fillette de 8 ans comment a-t-elle
survécu et elle a répondu : « un homme portant des
habits blancs resplendissants avec des blessures
saignantes dans ses mains » Elle a été interviewée
par une journaliste musulmane voilée, à la
télévision nationale égyptienne.
Elle a dit à la télé publiquement ceci :

« Ce n'est personne d'autre que Jésus parce que
personne d'autre ne peut faire des choses comme ça !
Les musulmans croient que Issa (Jésus) peut faire
pareille chose, mais les blessures signifient qu'il
a été réellement crucifié et c'est aussi évident
qu'il est Vivant ! C'est aussi clair que l'enfant ne
peut pas tisser une histoire pareille, et il n' y a
aucun moyen par lequel ces enfants pouvaient s'en
sortir, si ce n'est par un miracle.
Les leaders musulmans vont avoir de la peine à
comprendre quoi faire avec pareil événement, et la
célébrité du film « la Passion » ne peut aider.
Avec L'Egypte au centre des médias et l'éducation au
Moyen-Orient, vous pouvez être sûrs que cette
histoire va se répandre. CHRIST est VIVANT et il
continue de bouleverser le monde !
Sil vous plaît, partagez ce témoignage. Le Seigneur
dit : « Je bénirai celui qui met sa confiance en
moi» Jérémie 17 :7
 

Mort certaine
jh.pierre le 12/02/2008, 02 02 58 (UTC)
 Le livre de la vie est le livre suprême qu'on ne peut ni fermer ni rouvrir à son choix.
On voudrait revenir à la page où l'on aime, et la page où l'on meurt est déjà sous nos doigts
 

Pourquoi êtes-vous bouleversés?
Inconnu le 12/02/2008, 02 02 49 (UTC)
 Pourquoi êtes-vous bouleversés?

Il faut tuer ou mourir pour vivre, ou pour que se poursuive la vie : c’est la dure loi de l’existence, à laquelle nul n’échappe. Des étoiles ont explosé jadis, permettant à la vie de naître des milliards d’années plus tard; des cellules sont détruites, permettant au vivant de se refaire; ll faut bien tuer pour manger : si ce n’est pas la chair de l’animal, c’est celle du fruit ou de la plante; les générations disparaissent les unes après les autres, permettant à la société de se renouveler; des cultures meurent, permettant à d’autres de prendre la relève.

Ce processus de mort qui engendre la vie est universel, il nous touche à tous les instants de notre existence, il se manifeste souvent là où nous ne l’attendrions pas. Sous nos yeux, par exemple, nous voyons quotidiennement mourir la culture dans laquelle la foi s’est dite pendant des siècles, mort qui atteint les institutions qui en ont permis la diffusion, les rites qui l’ont rendue pertinente, les mots mêmes pour la dire. Combien de parents, de grands-parents qui éprouvent cette douleur lancinante de ne plus savoir comment rendre leur foi compréhensible à leurs enfants, à leurs petits-enfants, quand ce n’est à eux-mêmes. Combien d’autres qui se déclarent agnostiques, ou athées, ou indifférents, simplement parce qu’ils ne se reconnaissen plus dans ces mots de jadis, indéfiniment répétés, qui ne peuvent que susciter chez eux ennui, ou dégoût, ou ressentiment. Phénomène nouveau, serions-nous portés à penser? Bien plutôt simple manifestation de l’inévitable processus de mort-vie qui touche tout organisme, tout mouvement, toute institution.

À suivre...

 

Pourquoi êtes-vous bouleversés?
Inconnu le 12/02/2008, 02 02 46 (UTC)
 Pourquoi êtes-vous bouleversés?

Il faut tuer ou mourir pour vivre, ou pour que se poursuive la vie : c’est la dure loi de l’existence, à laquelle nul n’échappe. Des étoiles ont explosé jadis, permettant à la vie de naître des milliards d’années plus tard; des cellules sont détruites, permettant au vivant de se refaire; ll faut bien tuer pour manger : si ne n’est pas la chair de l’animal, c’est celle du fruit ou de la plante; les générations disparaissent les unes après les autres, permettant à la société de se renouveler; des cultures meurent, permettant à d’autres de prendre la relève.

Ce processus de mort qui engendre la vie est universel, il nous touche à tous les instants de notre existence, il se manifeste souvent là où nous ne l’attendrions pas. Sous nos yeux, par exemple, nous voyons quotidiennement mourir la culture dans laquelle la foi s’est dite pendant des siècles, mort qui atteint les institutions qui en ont permis la diffusion, les rites qui l’ont rendue pertinente, les mots mêmes pour la dire. Combien de parents, de grands-parents qui éprouvent cette douleur lancinante de ne plus savoir comment rendre leur foi compréhensible à leurs enfants, à leurs petits-enfants, quand ce n’est à eux-mêmes. Combien d’autres qui se déclarent agnostiques, ou athées, ou indifférents, simplement parce qu’ils ne se reconnaissen plus dans ces mots de jadis, indéfiniment répétés, qui ne peuvent que susciter chez eux ennui, ou dégoût, ou ressentiment. Phénomène nouveau, serions-nous portés à penser? Bien plutôt simple manifestation de l’inévitable processus de mort-vie qui touche tout organisme, tout mouvement, toute institution.

À suivre...

 

Pas de favoritisme
Jh.Pierre le 01/02/2008, 00 12 26 (UTC)
 Cela faisait plusieurs mois qu'un homme fréquentait régulièrement l'Église , mais on ne prêtait jamais attention à lui. Comme personne ne le connaissait, et qui ne semblait pas à sa place avec ses vêtement usagés, personne ne prenait jamais le temps de lui parler.

Un dimanche, en s'assayant dans l'église, il a intentionnellement gardé son chapeau. Quand le pasteur s'élevé et qu'il a regardé l'auditoire, il a aussitôt remarqué l'homme au chapeau. Il a donc demandé à un diacre d'aller lui dire qu'il avait oublié de retirer son chapeau. Quand le diacre est allé parler à l'homme, ce dernier lui a répondu avec un large sourire: «J'ai pensé que ça ferait l'affaire. Cela fait six mois que je fréquente cette église, et vous êtes la première personne qui m'ait jamais parlé.»

Dans la famille de Dieu, il n'y a pas de place pour les préjugés et le favoritisme. Nous, qui sommes nés de nouveau par la foi en Jésus, sommes egaux aux yeux de Dieu. À SUIVRE
 

<-En arrière

 1 

Continuer->

Nous sommes à 3093 visiteursJHP
Ce site web a été créé gratuitement avec Ma-page.fr. Tu veux aussi ton propre site web ?
S'inscrire gratuitement